Je m'exhibe dans les cabines de sex-shop, les saunas et les sex-clubs depuis ma prime jeunesse. Mais il m'a fallu attendre la démocratisation des appareils photo numériques pour enfin pouvoir garder un souvenir de ces moments de plaisir. Dommage, ça fait beaucoup d'années de souvenirs en moins.
Ce jour-là, comme à l'habitude, j'avais laissé la porte de ma cabine grande ouverte et je me caressais la queue debout dans le chambranle à l'entrée de la cabine, pantalon baissé sur mes fesses nues, exhibées aux regards de tous ceux qui passaient et repassaient derrière moi. Et comme à l'habitude, j'ai rapidement senti une main passer sur mes globes. J'ai laissé faire, bien sûr, j'ai senti la main presser mes fesses une à une et un doigt s'est immédiatement engouffré dans ma raie, à la recherche de mon trou du cul. J'aime cet instant où, après avoir une paire de fesses qui l'excitent, mon compagnon de rencontre apprécie de constater sous ses doigts que mes fesses sont parfaitement lisses et ma raie parfaitement imberbe. Je m'avance pour le laisser rentrer et nous fermons la porte. J'aime beaucoup lorsqu'il laisse la porte ouverte, mais j'aime aussi énormément l'intimité qui se crée pour quelques instants si nous décidons de fermer la porte : j'ai remarqué que cela poussait à plus de vice. Habituellement, je me laisse regarder de toutes les façons que l'on me demande (je suis très docile en matière d'exhibition). Je me laisse peloter, sucer, et beaucoup plus si je suis bien excité et en confiance. Par contre, je ne suis actif qu'avec les gens rasés ou épilés comme moi (j'ai un problème avec les poils, et je n'aime pas avoir ceux des autres dans le nez). A moins de m'offrir à sucer une queue suffisamment grande pour que je n'aille pas me coller les lèvres contre un pubis broussailleux, je préfère généralement m'abstenir. Mais je n'ai aucun véritable dogme et tout se passe toujours selon le feeling du moment.
Ce jour-là, j'avais mon numérique dans mon sac et j'ai proposé à l'inconnu de me prendre en photo. Ca lui a tout de suite plu, et je lui ai dit de photographier ce qu'il voulait. Dès le départ, cette première séance de photos donne le ton de ce que seront les suivantes, chaque fois effectuées avec un inconnu de passage : ces petits vicieux prennent un malin plaisir à vouloir me photographier le trou du cul. Ca tombe bien, c'est ce que j'aime exhiber le plus. Vous retrouverez toutes les photos de mes articles dans mes albums, en grand format. Mon voyeur a commencé par me demander de bien exhiber mes fesses "telles qu'elles sont : ne te cambre pas, fais plutôt comme si tu baisais un cul". Voici la première photo, posée comme il l'a indiquée.
Puis il m'a demandé de descendre de la chaise sur laquelle j'étais juché et me demandé de baisser mon pantalon juste sous le pli des fesses :
"Penche-toi un peu, laisse encore le futal descendre..." :
"Ecarte une fesse, avec une seule main" :
"Génial. T'as un beau trou du cul, dis-donc. Montre-le mieux, écarte ta raie entre le
pouce et l'index". Il faut dire que comme je me branlais, je n'avais généralement qu'une main de vraiment libre :
"Super, reste bien comme ça". A ce moment-là, il a posé l'appareil et s'est branlé
lui aussi un petit moment. Il me demandait de dandiner du cul (mais ça, c'est pas disponible ! Un jour, je ferai aussi des vidéos). Puis il m'a demandé d'écarter mes fesses à deux mains
:
La cabine était petite, et c'était difficile d'y
tenir à deux et de faire des photos en même temps. Je suis remonté sur la chaise pour mieux pouvoir écarter mes fesses :
Voilà, on voit bien tout comme ça ! Grâce à cet angle nouveau, j'ai aussi pu faire
passer ma bite par en dessous. Sur cette photo, on voit bien tout et on voit aussi comme je mouille :
Il en a pris une autre en se plaçant un peu plus en face : 
Je n'étais pas sûr s'il pouvait bien voir l'anus, alors j'ai en sorte qu'il
ne rate rien. Il m'a demandé de m'asseoir sur le dossier de la chaise. Je voyais ce qu'il voulais faire : cette position lui montrait mon trou d'une façon plus complète (un peu comme s'il me
filmait assis sur les toilettes, ce qui était très vicieux et excitant). Mais le manque de place et l'impossibilité de pouvoir cadrer correctement (il ne voyait pas ce qu'il photographiait car il
devait placer l'objectif juste sous mon cul) n'a pas donné le résultat escompté :
De toute façon, nous étions tous les deux sur le point de jouir et c'est ce que nous avons fait ensemble assez rapidement, après une dernière photo
:
Elle est peu floue, c'est dommage mais c'est
aussi normal : à cet instant, il se branlait trop fort pour ne pas bouger :-). Ceux que ça intéresse peuvent charger les photos en plus grand format dans mon 1er album.
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