Pascal, exhibitionniste imberbe

Et maintenant, quelques changements de positions pour finir. Enfin, finir... à la fin, il semble que ce ne soit que le commencement d'autre chose qu'une simple exhibition...Ci-dessus une vue que je trouve très sympa et qui permet de voir ce qu'on peut mater en 69.Quand un trou du cul devient ostensiblement une chatte...N'est-ce pas ? ;) La bite du photographe amateur semble avoir un but bien précis et bien visible.

Aujourd'hui, après avoir reçu un mail particulièrement enthousiaste à l'idée qu'après les fesses viendrait l'entrefesse, voici effectivement quelques images de mon cul. Un classique du genre : la main qui écarte une seule fesse. Classique car très pratique (l'autre main peut servir à se branler) :Mais comment en montrer toujours plus, et profiter pleinement de l'instant en continuant de se caresser ? Leçon retenue du voyeur précédent : la pince à écarter les fesses. Méthode : prendre sa raie entre le pouce et l'index autour de la rondelle, et écarter sans vergogne :Allez, un peu de courage. On cesse de se branler et on s'occupe de faire comme on vous demande : écarte tes fesses à deux mains. Là, j'y ajoute une petite touche de vice en ne posant qu'un seul deoigt de chaque coté du trou :Demain, ce sera le retour de la queue et des couilles, mais sans oublier le petit copain anus. Tous commentaires publiques sont bienvenus (mais c'est gentil aussi, pour certains, de m'avoir écrit par e-mail).

Ma seconde exhibition photographiée a lieu dès le lendemain de la première. Histoire de faire vivre ce blog et y apporter quelque chose presque tous les jours, j'ai décidé de publier les photos de chaque série par deux ou trois. Ces photos s'ajouteront à l'album correspondant et seront téléchargeables en meilleure qualité. Je suis un éroblogueur novice, j'apprends en tâtonnant (comme la première fois que je me suis retrouvé dans la chambre noire d'un sauna naturiste). Hier, il y avait essentiellement des photos de mes fesses et de mon cul. Aujourd'hui, on va commencer par le devant, dans l'ordre chronologique de cette séance d'exhibition photographique. Cette exhibition a eu lieu dans un grand sex-shop qui se trouve rue Saint Denis à Paris, au 3e étage, dans la section backroom. L'atmosphère y est souvent sinistre et glauque, mais on y trouve des cabines spacieuses qui permettent de faire pas mal de choses à deux. Dommage qu'il n'aient pas de lockers et qu'on ne puisse pas s'y balader à demi-nu, comme j'aime faire dans les sex-clubs. J'avais, comme toujours, laissé ma porte ouverte et je m'étais allongé sur le canapé de la cabine. Je me branlais doucement en attendant que quelqu'un entre. Certains jours, je suis tellement excité et j'ai tellement envie de m'exhiber que je me mets directement à poil, histoire d'être vu par un maximum de passants. Ce jour-là, j'avais juste sorti ma queue car j'avais envie de dévoiler le reste à celui qui allait me photographier. Ce serait plus excitant pour lui s'il ne savait pas exactement à quoi s'attendre. Je lui ai proposé de me photographier pendant que je me désapais et il a semblé très intéressé (quand je me fais photographier, je donne toujours mon adresse e-mail afin que le photographe m'écrive s'il en a envie pour recevoir toutes les photos). J'ai donc commencé par baisser mon jean juste de façon à dvéoiler mon pubis (enfin, mon absence de poils sur la pubis). Je me souviens qu'après avoir pris sa photo, le monsieur (il était assez âgé) est venu passer sa mai sur mon bas ventre et mes hanches. Même quand je me rase, je rase de près et c'est très lisse. On peur passer la main d'avant en arrière, ça n'accroche pas. J'ai ensuite dégagé ma queue et mes couilles :Il s'est approché pour faire une belle photo en contreplongée :Je passe une dernière photo de ma bite. C'était la journée de la bite, aujourdh'ui :Si ça vous a plus, revenez demain pour la suite. Bises à ceux qui regardent.