Bonjour tout le monde, je reviens m'occuper de mon blog que j'avais laissé en friche cet été.
D'autres séries de photos vont être publiées ces prochaines semaines, revenez régulièrement (sans doute quotidiennement).
Tout d'abord, je ne résiste pas au plaisir de vous faire partager les très gentils commentaires que m'envoie Luc au sujet de mes photos. Il m'a envoyé ses commentaires comme ça, en incrustation sur ses photos préférées.
Ça me donne une idée : j'aimerais bien voir, de temps en temps, vos bites en érection (ou après éjaculation) devant moi, puisque je fais quand même tout ça pour vous provoquer ça. Ceux qui le peuvent, prenez votre bite en photo devant votre écran montrant l'une de vos photos préférées, ça se passera de commentaire (mais n'hésitez pas à en faire, et je les publierai si vous le désirez). Vous pouvez aussi imprimer la photo en A4 et décharger dessus, par exemple, pour faire une jolie photo-hommage à ce qui vous fait régulièrement bander ou jouir. Ceux qui seront d'accord verront leur(s) photos(s) publiées ici même, avec leur petit nom.
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Cette fois je change troittoir, je vais en face, toujours rue Saint Denis, à deux pas du Forum des Halles. Le sex-shop possède une petite cave voûtée avec des
cabines dont il suffit de laisser la porte ouverte. Un inconnu passe la main sur vos fesses pendant que vous vous branlez, vous le laissez faire, puis vous l'invitez à prendre quelques photos de
vous.Au début, l'exigüité des cabines ne rend pas la prise de vues facile :
Je connais un truc pour m'ouvrir le cul sans qu'il soit
nécessaire de le "travailler". Ca ne marche pas tout le temps mais parfois c'est confondant. Il suffit de serrer l'anus en même temps qu'on écarte les fesses. Exemple :
Allez, une autre, pour voir (moi, sur le coup,
je ne vois jamais rien) :
Si c'est pas de l'exhibition ! Du coup, le photographe amateur me demande de me mettre un doigt. Je m'exécute mais il aurait dû faire sa photo par en dessous...
Après le verso direct (étonnant comme il a
voulu tout de suite photographier mon trou du cul, sans laisser les choses venir au fur et à mesure), le recto. Mais il ne peut s'empêcher de me toucher la bite alors je finis par prendre
l'appareil pour prendre les photos moi-même (j'ai zappé beaucoup de ratages, mal cadrés et flous) :
Et on retourne de l'autre côté. Le croirez-vous ? C'est
moi qui ai pris la photo ci-dessous. En même temps, vu que nous n'étions que deux dans la petite cabine et que le mec a déjà ses deux occupées à me tenir les fesses bien écartées, il n'y avait
pas d'aure solution. Et puis comme je disais, j'avais déjà l'appareil en main. C'est finalement très réussi, j'ai eu droit à des compliments sur mon "petit trou du cul rose". Ben oui, je suis
blond de naissance, il y a un endroit où je ne peux pas le cacher... :
La suite, bien sûr, est un peu téléphonée mais c'est
compréhensible. C'est la dernière photo, c'est déjà bien que j'aie pu la prendre moi-même car le photographe était décidément passé à tout autre chose que la prise de vues :
A très bientôt pour de nouvelles photos
et de nouvelles aventures. N'hésitez pas à commenter ou m'écrire par email, je réponds à tout le monde.
Puis il
m'a demandé de me retourner, et pour éviter la répétition d'une descente progressive du jean pour dévoiler mes fesses, je me suis mis direct à quatre pattes.
Il s'est approché et a écarté mon slip pour dégager mon
trou du cul :
Il n'a pas pu
s'empêcher de caresser ce petit trou bien lisse. N'oubliez pas qu'il ne faisait que passer dans le coin et que tout ceci est pour lui une agréable surprise :
Il a pris du champ et a shooté quelques photos de mon cul
:
Je ne sais jamais si on voit bien le trou du cul,
alors comme c'était à l'évidence ce qu'il voulait photographier, j'ai de moi-même opté pour le classique "pouce & index" :
Quelques nouvelles photos rajoutées aujourd'hui. De ma
bite, pour commencer :
Et à nouveau de mon trou du cul,
selon les désirs du photographe :
La photo ci-dessus est une belle vue
en contre-plongée. Ca donne une idée de ce qu'on voit en 69 !Ci-dessous, le photographe m'a suggéré de poser un doigt sur mon cul :
Mais quand je fais ça, généralement, je ne résiste pas à
l'envie d'enfoncer un peu les doigts :
Je crois qu'il n'existe rien de mieux que de se mettre un ou deux doigts dans le cul : on a le double de plaisir de doigter un cul et de sentir le fourreau d'un trou du
cul autour de ses doigts. Du coup, le photographe a décidé d'aller tâter lui aussi un peu le terrain. D'abord, tâter un peu ces fesses qu'il vient de passer dix minutes à
photographier :
Ensuite, caresser ce trou du cul qu'il vient également de photographier dans tous les sens :
Il m'allonge, me retourne, et refait une photo en tenant
cette fois lui-même une de mes fesses bien écartée, l'index sur le bord de mon cul pour essayer de l'étirer un peu :
Il pelote aussi le reste, tout en me demandant
de garder les cuisses grande ouvertes :
Cuisses grande ouvertes, je sais faire. Je me mets sur le dos et je relève les genoux, je passe ma main pour maintenir mes cuisses bien écartées. Il en profite
pour caresser à nouveau ce trou du cul maintenant très, très exhibé :
Après un long moment passé à me peloter un peu de tout, on
refait en vitesse une petite photo de mes fesses comme si je m'apprêtais à me faire enculer debout :
A partir de là, notre photographe manquait cruellement
d'une troisième main. Il devait se masturber car il n'en pouvait plus de se retenir mais il devait continuer à prendre des photos. Dans ces conditions, comment me doigter le cul, me
photographoer, et se branler ? Si vous avez des idées... J'ai fait avec ce que j'avais, j'ai pris le plus gros stylo qui se trouvait dans mes affaires, histoire de me finir moi aussi,
mais avec quelque chose entre les fesses...
Jouissance imminente, sur cette dernière photo... :
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